La sous-section du parti de la poignée de main du Point-G vient d’enregistrer l’arrivée de nouveaux adhérents. La rentrée politique s’est effectuée à la faveur de l’assemblée générale de cette sous-section, le samedi 15 juin. La cérémonie qui a eu pour cadre le centre d’ambulanciers et de secourisme a été présidée par le président du parti, Younoussi Touré non moins président par intérim de l’assemblée nationale accompagné de plusieurs cadres du parti.
Non satisfait de la gestion du parti du tisserand qui n’a posé aucun acte allant dans le sens du développement de leur quartier, la présidente de la sous-section RPM du Point-G, Mme Niaré Assanatou Ouologuem vient de signer son entrée dans le parti de la poignée de main avec au total 64 femmes sur 115. Selon elle, cette démission s’explique par le fait que le RPM au sein duquel elle militait depuis 2002, à l’époque où IBK était président de l’AN, n’a rien fait pour son quartier. « Pas un seul jour, ils n’ont délégué ne serait-ce qu’un de leurs élus pour venir nous remercier de notre accompagnement et nous appuyer dans le développement de notre quartier. De 2002, jusqu’à maintenant, nous soutenons avec force le RPM mais au contraire, le RPM ne nous a rien donné », a déclaré Mme Niaré. Selon la démissionnaire, le RPM n’a rien fait qui puisse faire avancer les femmes du Point-G. « Nous sommes là à souffrir et le RPM est là à nous flatter » a-t-elle poursuivi.
L’occasion était opportune pour ces femmes de soumettre leurs doléances au parti URD au sein duquel elles s’engagent à militer dorénavant pour la concrétisation de leurs besoins. Au nombre de ceux-ci, nous pouvons citer le besoin du quartier en borne fontaine, l’électricité, un bus pour le transport des élèves du secondaire vers leurs établissements respectifs. Point-G n’étant pas doté de lycée.
Les transporteurs en commun qui rejoignent les femmes du RPM dans cette adhésion, ne sont pas restés en marge de ces doléances. La totalité des voitures affectées aux transports en commun sur la ligne du Point-G étant usées, le représentant du comité des transporteurs en commun, Moussa Samaké a demandé aux responsables de l’URD de les doter en véhicules. Pour une meilleure commodité dans le transport des clients.
Le secrétaire général de la section URD de la CIII, Founé Dembélé ainsi que la présidente de la sous-section URD du Point-G, Pr Kaya Astou Soucko ont chacun souhaité la bienvenue aux nouveaux militants. Ils ont par ailleurs invité la population à sortir massivement afin de faire élire le candidat du parti de la poignée de main Soumaïla Cissé, dès le premier tour de la présidentielle à venir. Ce candidat qui, une fois promu à la présidence de la République, entend lutter contre le chômage avec la création de 20 000 emplois, chaque année.
L’occasion était opportune pour ces femmes de soumettre leurs doléances au parti URD au sein duquel elles s’engagent à militer dorénavant pour la concrétisation de leurs besoins. Au nombre de ceux-ci, nous pouvons citer le besoin du quartier en borne fontaine, l’électricité, un bus pour le transport des élèves du secondaire vers leurs établissements respectifs. Point-G n’étant pas doté de lycée.
Les transporteurs en commun qui rejoignent les femmes du RPM dans cette adhésion, ne sont pas restés en marge de ces doléances. La totalité des voitures affectées aux transports en commun sur la ligne du Point-G étant usées, le représentant du comité des transporteurs en commun, Moussa Samaké a demandé aux responsables de l’URD de les doter en véhicules. Pour une meilleure commodité dans le transport des clients.
Le secrétaire général de la section URD de la CIII, Founé Dembélé ainsi que la présidente de la sous-section URD du Point-G, Pr Kaya Astou Soucko ont chacun souhaité la bienvenue aux nouveaux militants. Ils ont par ailleurs invité la population à sortir massivement afin de faire élire le candidat du parti de la poignée de main Soumaïla Cissé, dès le premier tour de la présidentielle à venir. Ce candidat qui, une fois promu à la présidence de la République, entend lutter contre le chômage avec la création de 20 000 emplois, chaque année.
Ramata S.Kéita
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