mercredi 22 septembre 2010

MESSAGE A L'OCCASION DE LA CELEBRATIONDU CINQUANTENAIRE DU 22 SEPTEMBRE

MESSAGE DU 22 SEPTEMBRE 2010
Maliennes, Maliens,
Nous commémorons aujourd’hui, le Cinquantenaire de l’indépendance du Mali.
C’est une heureuse occasion et un moment privilégié pour...
adresser à chacune et à chacun d’entre vous, mes vœux les plus chaleureux de bonne fête de l’indépendance.

Je pense aux Maliens de l’intérieur comme à ceux de la diaspora qui, tous, œuvrent au quotidien pour assurer leur bonheur et celui du pays.

Je salue les efforts accomplis en cinquante ans : des Maliennes et des Maliens à l’intérieur comme à l’extérieur du pays ont fait preuve de leur ingéniosité, de leur créativité et de leur talent à travers des succès salués au plan international. C’est un motif, à la fois, de fierté et d’encouragement à toujours mieux faire.

En cinquante ans, le Mali a donc fait de grands progrès, il faut les conforter en appuyant fortement les secteurs de la santé, de l’éducation et de la technologie.

La construction nationale passe par une vision anticipatrice axée sur une forte solidarité. C’est en effet, aujourd’hui, qu’il faut envisager les voies et moyens en vue de relever les défis du monde moderne en balisant le terrain pour être au rendez-vous des cinquante prochaines années.

A ce titre, c’est à l’échelon sous-régional, régional et africain qu’il convient d’envisager des solutions durables.

C’est également dans l’unité et la cohésion et grâce au travail, que nous assurerons la grandeur du MALI, en en faisant un Etat respecté, un pays prospère et crédible, une nation unie et solidaire.

J’ai foi en l’action d’une administration moderne, des femmes dynamiques et des jeunes engagés sur les grands chantiers de la construction nationale et sous-régionale.

Le Malien, partout où il évolue, se distingue par son courage, son audace et son amour du pays : c’est un honneur et un prestige qu’il faut conforter par une convergence des forces et des actions afin de relever les grands défis du monde moderne.

Le Mali que nous devons léguer à nos enfants est un pays viable, où il fait bon vivre car, enraciné dans sa culture, ouvert au progrès et respectueux de l’environnement

Je renouvelle ici ma constante foi en l’avenir du Mali et ma grande confiance en chacune et en chacun d’entre vous !
Bonne et Heureuse fête du Cinquantenaire !

Que Dieu bénisse le Mali !

Je vous remercie.
Soumaïla Cissé

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